Il y a des situations qui ne se racontent pas. Et pour cause de contexte, on ne racontera que l’essentiel : le rapport du corps à la masse. Il y a des situations où le corps devient celui qui fait corps avec d’autres corps pour que tous ces corps deviennent masse et s’y diluent. Et il y a des moments où le corps fait corps avec d’autres corps qui deviennent masse et pourtant le corps demeure dans son propre corps. Qu’est-ce qui fait différence entre les deux situations ? La volonté du corps de ne pas se diluer, la volonté des autres corps de ne pas s’y diluer dans le corps de l’autre au point de s’y oublier dans le pareil tous ensemble en même temps ? La volonté ou la conscience de ou puis l’affirmation de. Il y a des situations qui se réfléchissent. Pourquoi décide-t-on de faire masse dans son corps ? Et à quel prix ? A quel prix du storytelling imposé donne-t-on corps dans la masse écoutante ? Quand accepter que le corps de l’autre soit corps dans notre masse à tous les deux et à tous les autres ? Comment mon corps ne fait que corps dans notre masse ? Comment la volonté du corps de faire corps dans la masse a une limite ? Et une singularité et une autonomie dans la vraie vie du vécu ; il y aurait le libre usage de soi-même ? Il y a des situations masse et des nécessaires actions corps.