Le petit chat est manifestement mort dans l’ailleurs de la littérature.
Au premier abord, tous paumés. Parfois
on tourne en rond à la recherche de.
Ils nous disent que le chat noir est noir.
Tout d’abord on y croit.
Performer l’ailleurs pour contrer les politiques du bouge pas de là.
Traditions, actualités, temps présents ; on ne bouge rien.
Il était une fois le statique.
Et ici et là l’auteur qui récuse la non exploration des possibles.
Tout d’abord l’ailleurs donc se situe quand. Mais
comme on ne peut explorer que l’ailleurs. Si on le trouve.
Tout d’abord pour cela il faudrait explorer.
L’ailleurs est ailleurs. Le chat noir est noir. A quoi bon où ?
Tout d’abord.
Le chat couché dans le panier se lécha les babines.
Plus de possibilité à explorer, déjà tout évident. Parfois assignés.
Tout d’abord.
On pouvait. On voulait. Assignés. Parfois tétanisés
à la limite de là-bas. Plus rien ne bouge d’ici.
Tout d’abord.
Pour qui ne bouge. Si simple l’ailleurs n’exista plus ;
maudites œillères cognitives, sociales, psychiques …
Tout d’abord.
Le chat mort est mort ?
Alors alors au premier abord lire en soi
notre horizon. Tout d’abord résister dans l’ici même puisque vivre
dedans là.
L’ailleurs se situe comme j’explore.
Cinématique, dynamique, dynamite
par le mouvement de nos
y e u x.
Coincés au-delà des frontières de la marge,
le déjà tout exploré est notre leurre. L’ailleurs existe pour qui quand
toujours.
Le chat noir est noir si et seulement signe.
Il faudrait arrêter de nous raconter ces histoires. Pour qu’on ne
rebondisse ailleurs de leurs vies.
L’ailleurs n’est pas le loin.
Ailleurs n’est pas loin.
A nos côtés
A côté
Pas un à-côté
A nos côtés
A côté
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